Salut à toi ! Tu es prêt à découvrir comment Lucas et Marion ont réussi à sauver leur projet de maison de rêve alors que tout semblait perdu ? Moi, oui et je suis sûr que toi aussi !
Alors, imagine la scène : Lucas et Marion sont en panique, ils ont fait appel à un contractant qui a disparu de la circulation et la commande de leur maison en ossature bois est passée. Impossible d’annuler et les entreprises qui devaient intervenir refusent de le faire sans maître d’œuvre. Que faire ?
C’est là que j’interviens, moi et mon goût prononcé pour l’injustice ! Je prends les choses en main et nous nous mettons tous ensemble à la recherche de solutions. Des concessions, des adaptations techniques, de la recherche d’entreprise compétente, de la persuasion auprès des banques pour une enveloppe supplémentaire… On ne lâche rien !
Et finalement, grâce à notre détermination et notre amitié, nous avons réussi à surmonter tous les obstacles et à réaliser le rêve de Lucas et Marion. Alors, prêt à découvrir comment nous avons fait ? C’est parti !
“Lucie, nous nous sommes même arrêter sur le bord de l’autoroute pour ne pas louper votre appel sous aucun prétexte, car nous étions désemparés”
Lucas et Marion font face à une impasse, car la commande de leur maison en ossature bois étant passée, aucune possibilité d’annuler la commande et surtout les entreprises qui devaient intervenir sur le projet ne veulent pas intervenir sans un pilote de chantier.
Un gros travail d’analyse et de comparaison démarra. Une concession sur la date de début des travaux accepté par Lucas et Marion qui a permis de prendre un peu plus de temps dans la recherche d’économie tout de même.
Les travaux démarrent, quoi dire de plus ! et bien pas grand-chose, je fais mon job quoi ! 😜
En revanche, l’erreur que j’ai pu faire est la sous-estimation du temps consacrée à la gestion des entreprises et fournisseurs en contrat de partenariat avec mes clients.
Une certaine notoriété leur a permis d’accéder à certains privilèges maîtrisés. Des prestations bien évidemment prisent en compte dans le cahier des charges des entreprises (car, sachez qu’il est nécessaire de préparer une future co-habitation lors du chantier).
Sauf que je ne devais pas être en direct avec eux. Après la commande des clients auprès de leurs partenaires, ils ont fait face à des complications et cela a nécessité une gestion et une logistique à distance de ma part.
Donc pas top ! ( une expérience = une leçon )
BON ! tu te doutes bien, que reposait sur mes épaules la responsabilité de briser leur vie ou sauver leur projet de rêve.
Parce qu’il y avait grande chance qu’aucun architecte ne reprendrait le flambeau dans l’état où se trouvait le projet.
RE-BON ! “donner le sourire” est ma maxime alors ni une ni deux, je relève le défi✊.
Let’s Go, je prends le dossier en main et me voilà confronter aux premières difficultés, des incohérences techniques apparaissent. Me voici contraint d’expliquer à mes clients qu’il sera très certainement nécessaire de remettre la main au porte-monnaie., en pleine période de COVID c’est génial.
Difficile d’entendre dans leur voix cette détresse. Néanmoins, je leur explique que je suis là pour eux et qu’ENSEMBLE, nous arriverons à trouver des solutions.
Nous voilà avec ces proches – et c’est là que l’on se rend compte de la puissance de l’amour de la famille – à travailler sur la recherche d’économie. Des concessions, des adaptations techniques ainsi que la recherche d’entreprise compétente forme le combo parfait !
Pas totalement parfait, parce que leur désir d’avoir une maison comme ils l’ont rêvé ont décuplé leur motivation et puissance de persuasion auprès des banques pour demander une enveloppe supplémentaire.
👏BRAVO Lucas et MARION.
L’un des avantages de faire appel à un maître d’œuvre, c’est d’avoir un carnet de coordonnées d’entreprise sérieuse et compétente à porter de main.
Sauf que je craignais que la distance (100 km aller) ne refroidisse mon réseau et qu’il ne me suive pas sur ce projet. Pour moi, c’était une garantie supplémentaire d’avoir des entreprises que je connaissais.
Il n’a pas fallu insister, car connaissant ma manière de travailler, ils ont accepté tout de suite.
Un gros travail d’analyse et de comparaison démarra. Une concession sur la date de début des travaux accepté par Lucas et Marion qui a permis de prendre un peu plus de temps dans la recherche d’économie tout de même.
Les travaux démarrent, quoi dire de plus ! et bien pas grand-chose, je fais mon job quoi ! 😜
En revanche, l’erreur que j’ai pu faire est la sous-estimation du temps consacrée à la gestion des entreprises et fournisseurs en contrat de partenariat avec mes clients.
Une certaine notoriété leur a permis d’accéder à certains privilèges maîtrisés. Des prestations bien évidemment prisent en compte dans le cahier des charges des entreprises (car, sachez qu’il est nécessaire de préparer une future co-habitation lors du chantier).
Sauf que je ne devais pas être en direct avec eux. Après la commande des clients auprès de leurs partenaires, ils ont fait face à des complications et cela a nécessité une gestion et une logistique à distance de ma part.
Donc pas top ! ( une expérience = une leçon )
☝️Ah si ! deux gros soucis que je trouve pertinent d’aborder ici.
La première sur la nécessité d’installer une station de relevage et la seconde sur l’erreur d’ENEDIS sur leur étude d’installation de coffret.
- 📍Station de relevage : j’avais observé que le terrain était en pente inversée par rapport à la rue donc assurer une pente pour les réseaux étaient difficile et donc l’installation de cette station devenait obligatoire (non prévue dans le projet initial bien évidement). Toc toc, porte-monnaie.
- 📍📍Erreur ENEDIS :
Pour l’installation d’un coffret en limite de propriété, Enedis demande tout un dossier de document pour leur étude. Sachez qu’il y a 2 types d’installation, lorsque la maison se situe à >30 m de la limite de propriété ou <30 m. Sauf qu’une fois le projet terminé, le Consuel passé, vois-tu qu’il demande un complément d’installation, car bien évidement une erreur de leur part, sur la distance de la maison. C’est vrai qu’une distance de 70 m ne se voit pas comme un nez au milieu de la figure. Toc toc, porte-monnaie.
Pour moi ce sont les deux gros sujets qui ont nécessité une énorme adaptation et dépense financière non prévue dans la globalité du projet.
Tout au long du chantier, imprévus, complications et adaptations ont pointé leur bout de leur nez, et mon job faire en sort que celles-ci disparaissent comme la brise du matin et qu’elle ne chatouille en aucun cas mes clients.
